Dans ce texte publié en 1947, A. Artaud impute à la société le mal dont a souffert V. Van Gogh et accuse son psychiatre, le docteur P. Gachet, de l'avoir poussé au suicide. Il affirme que la lucidité supérieure, attribut propre à tout artiste, recèle en elle une force contestataire et devient un facteur de marginalisation dans une société qui confond génie et tare psychologique. @Electre 2024
Message d'information
Site | Public visé | Cote | Particularité | Situation | Code-barres |
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Médiathèque départementale | Adulte | 759.05 VAN | Aucune | Disponible | 7031490067 |
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Antonin Artaud
Antonin Artaud dans Le Juif errant
Nom de naissance | Antoine Marie Joseph Paul Artaud |
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Naissance | Marseille, France |
Décès | (à 51 ans) Ivry-sur-Seine, France |
Activité principale |
Poète, acteur, metteur en scène, théoricien du théâtre, dessinateur, essayiste et écrivain
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Distinctions |
Langue d’écriture | français |
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Mouvement | a fait partie des surréalistes, fonde le théâtre de la cruauté |
Genres |
Œuvres principales
Le Pèse-Nerfs (1927), Héliogabale ou l'Anarchisme couronné (1934), Le Théâtre et son double (1938), Pour en finir avec le jugement de Dieu, suivi de Théâtre de la cruauté (1948)
Compléments
a influencé le nouveau théâtre américain dont le Living Theater, l'Open Theatre